mercredi 23 mars 2011

Suzanneries-XXVII

Messianic Banking 9 : In Her Children's Head





Insert Suzan Here Under -
Greatest scientific subject above all :
Suzan of Lachine
 «Salut Piayeluc, c'est Maman. J'viens d'orcevoir cinq cent piass du TRAD'KÜ qu'y'a mis ça dans boîte à mal chez Faniev en bas. Fack j'l'ai appelé tsé pour yh dzire que j'voulais pas cinq cent piass moi dans vie, j'l'ai appelé pour yh DZIRE QUE J'VOULAIS MON ARRRRGENT! Yh m'a répondzü qu'yh s'était ARRANGÉ AVEC TOI PIS FANIEV?? C'est quoi c't'affaire-là??» débuta la rage de Suzan à l'attention de son fils. Suzan, la trahie par les infantiles, se demandait probablement en des termes plus asociaux : ''Que s'était-il donc passé dans les têtes respectives mais pourtant indissociables de Faniev et Piayeluc lorsqu'ils prirent arrangement avec le cul troué pour obtenir un remboursement en sa faveur selon des termes qu'elle ne contrôlait pas?'' La réponse : nous nous en balançons jovialement, car, encore une fois, tout objet d'analyse outre la psyché suzanesque ne mérite aucun arrêt sérieux. Suzan! Sujet ultime de la loupe! Celle qui est l'ahurie sous le microscope du blog populaire [blogulaire?], demeurera toujours la seule quête d'étude valable.  

Bémol méthodologique : illustrissime Suzan, certes, mérite tout projecteur et toute lumière de scrutation, mais un examen de la bête est incomplet sans bifurquer par les événements qui la poussèrent vers la production d'écume à sa gueule d'enragée. Le couple d'enfants lourdement couronnés de la descendance suzanesque avait, souvenons-nous, pris en charge la destinée monétaire maternelle en imposant ce qui allait être désigné comme le conciliabule du rectum. Par le fait même, il était naturel de déléguer l'importance toute suzanesque à ces personnages vulgaires : Faniev of Lachine et son frère Piayeluc Crown Prince of St-Édouard. Enfants vivants munis de procuration à visée parentale.

Contentons-nous de parler d'intentions leur étant propres et malpropres.




Antique Gay Icon Wearing the Chiffon -
Piayeluc's mythic mission
as Égérie of Justice

PIAYELUC CROWN PRINCE OF ST_ÉDOUARD (PC POSÉ [gay-gay-gay]) : Pour le jeune adulte qu'était Piayeluc, il était notamment question des valeurs nobles de ''pitié'' et de ''justice'' dans sa rencontre avec Le Trad'kü. Dans la mesure de l'accessoire, la jeune tapette aimait jouer à l'enfant devenu sérieux voulant rendre justice à l'opprimée qui l’avait mise au monde. Notons que la question monétaire était loin, au départ, de servir de priorité à cette rencontre rectale, la bourgeoisie pensante de PC POSÉ aimait d'avantage mettre les pièces du puzzle ensemble en obtenant d'autres versions de l'Histoire que de défendre véritablement les intérêts financiers maternels sous-jacents. Déjà ''ganté de gants de vaisselle'' pour effectuer cette sombre besogne de rencontre avec l'embout du gros intestin, la livresque pédale versa volontairement un peu de vomi dans sa trachée pour exprimer son dégoût face au choix du lieu. Infame! Le Trad'kü étant dans les Laurentides [Ste-Adèle, remember?], voulait une rencontre à mi-chemin, ce qui en métrique équivalait à LAVAL. La jeune pédale déjà voilée des foulards de l'Égérie de justice, les mains gantées plongées dans la fange plus que suzanesque allait maintenant devoir aller magasiner chez Spore Espère pour un pince-nez de nageuse synchronisée pour empêcher les vomissures de gicler hors de sa bouche lorsqu'elle allait conduire sur les autoroutes de l'Île Jésus, la conspuée et la trop mal nommée.

Holy Name for North Bastion of Savages –
Piayeluc's total disdain of Laval
Perfect to meet an ass hole


FANIEV OF LACHINE (FOL) : Pratique d'avoir un cerveau qui gérait et répertoriait à la fois 136 débits comptables et 29 entrées de crédit pour un immeuble à 3 logements en quelque secondes. Faniev devait penser à collecter le loyer de sa mère, notre bonne Suzan, mais aussi, nous le savons maintenant, FOL devait aussi prévoir et esquiver dans l'espace-temps les soubresauts de folie suzanesque. Dernier écueil financier en liste pour la jeune entrepreneure fin-vingtaine : Suzan refusait maintenant de payer le montant mensuel de quatre cent piastres, refus libellé par les mots suivants de la bouche mauve et sèche de Suzan : «J'te dirai pas qui, à Lachine, qui m'a dzi que c'est la plus grosse erreur de ma vie que d'avoir donné mon héritage à ma fille de mon vivant. La personne à qui j'ai parlé de d'ça m'a dzi que ça s'faisait pas dans vie! Après, nos enfants y'ont s'qu'yh veulent pis yh jouzent avec nous! Fack, moi, comme une grande niaiseuse tu penses que j'vais aller donner 400 piass à la grosse-Grecque-en-bas [Faniev of Lachine]? Pour qu'ah rize de moi? Non! J'frai pas rire de moi dans vie par ma fille, c'pas vrai!». D'où l'appel téléphonique suivant d'une mère à la volonté résolue à sa fille ayant des prêts à rembourser pour les fenêtres et la tuyauterie notamment d'une maisonnée plus que cinquantenaire : «Faniev? C'est ta mahire qui parle! Maman ah t'appelle pour te dire qu'ah te donnera pu 400 piass par mois. J'suis chez nous icitte et j'ai rien à payer, t'abuses de moi là». Alors que d'une oreille, Faniev of Lachine entendait Suzan lui faire un arrêt de paiement en direct, il avait été mis à sa connaissance que son jeune frère s'était débrouillé pour rencontrer Le Trad'kü pour discuter ''monétariat''. CRÉDIT DÉBIT, ENTRÉE SORTIE dans un cerveau de Vierge Comptable d'horoscope furent vite compilés pour une équivalence et une balance des paiements désormais peut-être moins déficitaire qu'envisagée. Faniev fut alors partante pour tâter Le Trad'kü et la bourse de ce dernier. ''Qui risque rien n'a rien'' devait alors se dire Faniev of Lachine.


Rainbow It Up to Prevent the Puke –
Piayeluc's private grigris 
as Égerie of Justice
 À la suite d'une journée de travail, Piayeluc alla chercher sa sœur déjà au centre-ville pour la rencontre maudite vers l'Île Jésus et son trou de cul du mi chemin. Un arrêt chez Ti-Morte-Tonne pour des sandwichs wrap en guise de souper plastique manqua d'achever le prince homo déjà handicapé par son pince-nez lavallois. Au moins, les objets fallacieusement présentés comme étant des aliments devant le prince eurent l'avantage de faire redescendre par péristaltisme le vomi présent de sa trachée vers le fonds de son estomac. La roche gastrique ainsi formée était gage de rétention…Le pince-nez fut alors gardé par le prince par pure coquetterie, voire pour des fins d'ostentation ou même voire comme grigris anti trou de cul.



Bar Shoshanna –
Faniev's only reason to
 pay for legal advice [Suzan] -
Troublesome mother

FANIEV OF LACHINE : Osti qu'ah'est conne, Piayeluc, j'en r'viens pas! Ah comprend rien d'la réalité. Tu l'sais que je l'orgrette de pas l'avoir laissée sortir du char l'autre fois quand j'étais avec elle en train d'conduire sur l'autoroute. Ben oui toé, la folle en char qui veut sortir parce qu'on est en train de s'pogner su' ketchose dans l'char. J'étais en train d'conduire pis j'me concentrais sur la route pis j'devais l'orrtenir en même temps parce qu'elle essayait de débarrer la porte pis de l'ouvrir pendant que l'char roulait. Osti qu'j'aurais dû juste la laisser sortir, appeler la police et dire qu'y'a une folle qui marche su' l'autoroute. Au moins la police aurait témoigné sur le fait que c'est une criss de folle pis on aurait pu enfin la mettre dans un centr'de fous!!! J'orgrette à chaque fois quand j'agis pas sur le fait parce que je me sens coupable pis c'est ma mère, mais OSTI que j'chu pu capabb de ses osti d'conneries, Piayeluc, j't'a boutttte, ah'est en train de me rendre folle dans maison en bas! R'garde comment c'est grave, où chu rendzü dans vie! Chu rendzü que tu viens me chercher dans un bureau d'avocâ parce que ma mère est trop folle pour me donner un break OSTI dans vie! Ça vient d'me coûter encore un autre mille piass de conseils légals [sic] parce que tout d'un coup ah l'arrête de payer son loyer pis ah l'a pas l'droit d'faire ça. C'était dans l'entente qu'elle renonçait à hériter pis qu'ah devait payer pour m'aider en temps que co-propriétaire. Si ah refuse de payer pis qu'ah dit qu'est propriétaire c'est un non-sens! Moi comme une conne, j'dois déclarer au gouvernement que j'orçois 400 piass par mois en revenu de loyer pis que j'paye d'l'impôt sur kekchose que j'orçois  même pas parce que Suzan, trop folle, ah veut pas comprendre. Criss que j'aurais pas dzü accepter l'offre de Mononkpiaye pis j'aurais dzü la laisser se démarder avec la maison en héritage su'l'dos, ah l'aurait dzü dealer pis rembourser son BS pis la vendre, la maison. Mais non ah voulait ça crotté! Pis c'est moi qui doit dealer avec ses OSTI d'm'agouilles de crottée. L'avocâ il l'a vue vnir toute suite quand ah'est rentrée dans l'bureau pour la première fois quand on est v'nu signé les papiers de l'héritage. Ah'était tellement conne c'te jour la, Piayeluc. Ah posait des questions niaiseuses pis était sur la défensive comme si était en train de s'faire crosser par son frère pis sa fille pis ah pleurait en parlant. Tsé comment qu'ahl'é!? L'avocâ yh me l'a dzi aujourdzüi qu'il savait que j'allais r'venir pis qu'yh l'a senti que c'était une criss de folle pis qu'ah allait m'faire la vie dure. Tu penses-tu que ça fait son affaire à l'avocâ de m'faire signer des papiers d'mahim pour qu'ELLE elle aye la belle vie pis qu'moi j'assume toutes les responsabilités? Pis en plus faut que j'orpaye pour me protéger légalement contre elle? L'avocâ y'a pitié de moi pis yh comprends pas comment une mère peut mettre dans' maaarde sa fille de même!

PC POSÉ : C'est dégueulasse du Ti-Morte-Tonne! On yh dzi quoi au Trad'kü?

FOL : On 'yh dzi la vérité… pis on 'yh demandera la vérité.         

mercredi 2 mars 2011

Ékritür automatisch 02-03-2011

Fenêtre ouverte sur la luxure d'une crottée



Liplöte zeigt und ziehst ihre Soutien-gorge aus

Faisons vos impôts, grosse crottée! L'heure des comptes est venue! Il est maintenant temps de vous percer d'objets contondants! Il est encore temps, une fois de plus, que vous vous ouvrez la bouche de façon sporadeek à la pluie de souillures qui tombe allant de votre poitrine de dinde tranchée épais à votre entrejambe d'escroquerie sans dentelle.  Faste conne, face contre terre, suppliant entités dont le nom est psalmodié, susurré pendant de suaves danses sur dureté du plancher cimenté par votre salive séchée. Jambes longues dans l'apparat de bas ''masculins'' multicolores exhibés sans soucis à l'acteur de vos poignardées organiques. Dégoûtante truie du dégoût incarné! N'avez-vous pas honte ainsi d'offrir à autrui et ses yeux vos mailles de mauvais goût? Signifiance n'avez-vous, de toute façon, jamais eu vent, votre naissance n'en ayant point donnée!

Votre patrimoine est discutable certes, mais qu'en faites-vous du don par le divin de votre charnel outre les visites aux cliniques médicales sans rendez-vous? L'angoisse et les insectes vampiriques peuvent bien vous ronger le périnée et l'ensemble de votre surface épidermique, sombre idiote! Grattez vos gales pour ainsi répandre les fluides emplis d'œufs parasitaires sur le reste du bordel vivant que vous personnifiez! Votre peau n'est qu'un champ de désirs putréfié, flétri par la répétition bi-corporelle (parfois pluri-corporelle) ad nauseam! Sombrez les mains dans les airs à grandes inspirations dans l'interstice entre deux sacs de vidanges gluants du container existentiel. Ne bouchez pas votre nez large d'Africaine albâtre. Faites entrer l'odeur de décomposition si familière dans vos poumons, ces autres sacs de vidange faits, eux, de peau mouillée succédant à vos bronches de cocaïne. Utilité de vos muqueuses depuis votre existence : réceptacle de poudrées. Que dire au passage des joies des ''médicaments'' par voie rectale, votre unique voie? Outre le fait que vous déambulez volontiers le doigt au cul au centre de la rue en plein feu rouge n'aura pas plus d'impact qu'un véridique suppositoire. Ne supposez pas que votre main enfoncée au poignet dans votre extrémité pointant terre puisse vous guérir du mal qui vous afflige depuis day zero.

La capacité de réfléchir, de comprendre et d'anticiper les conséquences de vos actes? Non, pécheresse du déséquilibre, ce ne sont pas là de nouveaux fournisseurs génériques d'antidépresseurs! Clamez haut et fort à qui veux bien l'entendre que vous, canne boiteuse et gavée de foie gras pendant les derniers mois, n'avez de compte à rendre qu'à la pharmacopée des Coutsü. Faite la file et parlez négligemment des mandibules d'arthropodes broyant votre épiderme crémée aux fluides humains, des psychotropes en cachets légaux dont vous vous faites farcir le ''cerveau'' et bien sûr de toute substance d'être qui peut bien vous rester par la suite, vous, sac à foutre, sac de vidange, sac du renvoi d'égout.