Fag Hag by Motherhood 5 – She just Called the Cops
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Le Feu par le Feu Ensuite Viendra le Bucher - Suzan of Lachine portrayed as Jeanne d’Arc in a quest against a pernicious invader |
«Si t'es capabb Piayeluc d'en pogner jüss un, jüss un, pis dzi faire ben mal, pis de pas l'lâcher, concentre-toi jüss sü’ un, les autres vont avouar peur de toi pis yh vont s'en aller.» conseillait souvent Suzan à son fils, le jeune Piayeluc, victime d'intimidation et parfois de violence à cause de son appartenance à une minorité risible. Suzan, cet être de conseils, la plupart du temps, non-violents devenait très martiale lorsque son fils lui parlait de vive voix de faits verbaux pesant sur sa propre personne. Axée sur les interventions directes et musclées voire sur la ''contre-intimidation'', Suzan était connue dans le tout
Queendom of Lachine and beyond comme étant une mère folle qui défendait son fils par tous les moyens possibles et
unusual. Les sourates de Lachine et celles du Royaume voisin de la Cavalerie de LaSalle pleuvaient d'histoires épiques dans lesquelles Suzan enfourchait sa monture débridée pour empaler l'Oppresseur : l'Homme-aux-phobies.
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All of Celine’s Nineties French Songs Choreographed by a 10 Year-old Homo Fan – Piayeluc’s then tasteful musicals |
D'où provenait donc cette fougue maternelle à la rescousse du jeune androgyne opprimé par la misère de l'esprit du monde des enfants? Probablement en premier lieu de la douleur et du rejet suzanesque proprement dit. Qui d’autre qu’une enfant abandonnée dès sa naissance et ayant eu l’impression d’avoir été abusée toute sa vie à cause de sa naïveté et de sa foi en l’Humain pouvait ainsi comprendre barre oblique vouloir défendre sa propre chair? L’objet de discours süzanesquement verbalisé ainsi : «On viendrrâh pas rire de toi comme qu’on a ri d’moi dans’ vie! C’poh vrai!». Suzan semblait alors éprise d'une rage lorsque l'enfant Piayeluc lui racontait les sévisses du langage qu'il subissait. Qu’aurait fait une mère normalement constituée dans son approche de ces divers événements durant lesquels son propre enfant est victime de moqueries voire de violence parce que ce dernier chante du Céline Dion en courant de façon aviaire dans les rues de Lachine? Ne supposons rien! Ça n’en vaut surtout pas la peine, car, rappelons-nous, tout autre sujet d’études psychologiques autre que süzanesque n’a aucune valeur loufoque. Suzan, elle, elle invoquait derechef la clause de gravité extrême lorsque des enfants violentaient son fils : elle portait plainte à la POLICE. Après coup, une bonne discussion au téléphone avec les parents des infantiles agresseurs servait à fermer le dossier pour toujours. Suzan s’assurait ainsi que, pour la fin des temps, la Rue ou l’École laissât tranquille la féminité patente de son seul enfant mâle.
Voici le récit d’une mère à l’enfant chétif ou trop sensé pour savoir mordre.
PIAYELUC IN THE PARK
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Gender Gap - Piayeluc’s missing ‘’Y’’ – The kindda i-grec you don’t wanna miss |
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Forgive Them, For They Know Not What They Do. ([Piaye]Luke 23:34) - Lachine’s first homo-martyr |
Ten years old Piayeluc dans le parc de Lachine jouant dans les structures avec un ami nommé "XY". Deux jeunes filles de treize ans, "XX1" et "XX2", s’approchèrent et commencèrent à poser des questions à Piayeluc et à "XY". Elles se rendirent bien vite que "XY" était parfaitement normal, voire à leur goût et que Piayeluc semblait être un enfant transgenre débile. "XX1" et "XX2" avaient déjà entendu parler du «gars-fille» du bas de Lachine et mettait un visage maintenant sur ce mythe tant ri
throughout the Queendom. Les questions grinçaient de toutes parts à savoir si c’était vrai que Piayeluc démontrait certaines particularités de la gente "XX". Les réponses de l’enfant de la paix furent honnêtes et son viril compagnon "XY" ajouta même, pour peut-être redorer sa propre pubescence, qu’à l’instar des filles, Piayeluc ne se défendait pas. "XX1" et "XX2" testèrent immédiatement la résistance de Piayeluc en lui lançant du sable dans le visage et en le faisant trébucher au sol à plusieurs reprises. Ensuite "XX2" maintint l’enfant en victime presque consentante par l’absurde violence contre un arbre pendant que "XX1" lui crachait des amas gras de salive au visage. Ensuite et pour finir, quelques cascades de giffles, de coups de griffes etc. Plusieurs minutes de tortures gratuites et injustifiées plus tard, le jeune Piayeluc réussit à s’enfuir des mains de "XX1". Le poussin rose, premier homo-martyr juvénile connu des sourates de Lachine, rentra à la maison et montra ses éraflures et son égo blessé à sa mère. Mais qui était la mère de Piayeluc déjà? SUZAN! Oh oui Suzan! Illustre et splendide sur ses grandes jambes à travers les arbres du Parc à Lachine.
Suzan @ Piayeluc : QUI??????? DZI MOÉ QUI???? DZI MOÉ JÜSS……..QUI????
Piayeluc : Je l’sais pô! Sont dans l’parc!
Suzan : Vite! Cours! Avant qu’yh s’en aillent les p’tsites crisss!
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You Come HERE! – How to resist Suzan’s tight grip |
Scène paranormale : Suzan couru de toute sa vie vers les structures du parc pour surprendre "XY" qui était resté à bavarder en traitre avec le duo "XX1" et "XX2". Suzan ne se soucia guère de "XY", elle n’avait que de yeux et de rage pour "XX1" et "XX2" qui s’enfuyaient effrayées par «Heille toé! Attends, orviens icitte faut que j’te parle ma p’tite maudzitt!». "XX2" plus futée que l’autre, disparut dans un décor de conifères laissant "XX1" une
poutine-fed petite-grosse du bas de Lachine poursuivre plus lentement sa course folle vers le sud et sortir du parc en traversant la rue Victoria avec Suzan-justicière aux trousses. Suzan attrapa finalement la «p’tsite-crisse» au vol et la ramena vers le parc en la tirant
par les cheveux. Piayeluc arrivant sur les lieux, car courant vraisemblablement moins vite qu’une Suzan enragée, vit sa mère traverser la rue au milieu des voitures qui klaxonnait et à leur volant des madames de Lachine qui sortaient leur tête en criant «pas par les ch’veux! Arrête d’la tirer par les ch’veux voyons!». Suzan n’avait d’oreille que pour la correction des méfaits dans l’immédiat et c’était en tenant fermement "XX1" par les cheveux et en résistant aux cris et aux pleurs de la petite-grosse agressive apeurée qu’elle réussit à la ramener dans son antre suzanesque.
Suzan @ XX1 : «Attend icitte ma p’tsite maudzitt, la police s’en vient!
XX1 pleurant de ses larmes grasses : LA POLICE??? Pourquoi la police!?
Suzan @ XX1 dans toute sa gloire de mère sortie d’une transe protectrice : Parce que comme ça…tsü vas pü jamais orcommencer à faire violence sü’é autres! C’tsü clair??
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Gimme face! – Lower Lachine’s favorite face-shiner |
La police du Queendom of Lachine pouvait bien se présenter sur l’appel d’une mère monoparentale sur la fin d’un
powertrip racontant détenir une jeune contrevenante enfermée dans une pièce. De toute façon, qui à Lachine ne connaissait pas Suzan? …Fille de Granpapapaul, sœur de Mononkpiaye et illustre duchesse des pompiers de Lachine dans les
seventies, rien de moins! Un petit policier bedonnant se chargea de rester avec Suzan et son fils émasculé de sa naissance alors que XX1, la petite-grosse, venait tout juste de quitter avec sa mère qui également et manifestement par la rondeur et les irruptions du faciès avait mangé beaucoup de poutines au cours de sa vie. Le policier complimenta allègrement Suzan pour la rectitude de son acte de bravoure. Il admirait qu’une mère de famille décida de tenir tête à la violence due à la pauvreté [d’esprit] qui semblait alors ronger les jeunesses du bas de Lachine. Suzan, reine de facto, avait peut-être ainsi délimité la frontière à ne pas franchir dans ce petit pays de la patate fritte. Elle essuya cependant du revers de sa grande main la critique du policier qui déclarait en défaite que l’enfant süzanesque était «trop poli» [mots doux pour : votre fils de 10 ans est une
dragqueen]. Suzan mi-blague-mi-gorge-serrée, comme toujours : «Moi monsieur, j’ai pas été longtemps à l’école pis j’ai toutt donné mon intelligence à mon dernier quand qu’yé né, mais si ya une chose que j’leur ai inculqué dans’ vie c’est le respect pis la politess, pis yh vont aller loin dans’ vie jüss avec çâ.».
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Polite Police Politics – The only time Piayeluc plays ‘’cops and robbers rubbers’’ |
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