mercredi 26 janvier 2011

Ékritür automatisch 25-01-2011


Truie Bancaire : le Bris


Est-ce que l'éclat des bijoux qui scintillent en tintements visuels? Ou sont-ce plutôt les notes du diktat de ma vie jouées à même le glockenspiel esclavagiste. Ô plaintive femme de maison des bas étages sociétaires. Voulez-vous en toutes choses le retrait de tous pietres avoirs de sombre idiote pour n'offrir à votre maisonnée que chiens de faïence! Pourquoi le dur labeur du passé accumulé pour vieillesse puante doit-il prendre le chemin du paiement caprices. Idiotie de votre région pauvre d'esprit! Criez, glauque folle! Gérez votre succession à coup de ventilateur dans vos émeraudes billets. Votre cortex pense supposer un semblant de connaissance, mais vous êtes la seule à revendiquer vos conneries. La gérance n'a vent de votre déséquilibre, seule, vous croupirez dans le welfare d'Augias. Mais d'où sortez-vous avec vos assurances? D'où la politesse doit elle sortir chez vous? Certainement pas de votre cavité buccale ou autre de vos sphincters de piété commerçante.  Non madame vous ne serez pas servie avec ce ton  de gémissement monétaire. Une déesse des transactions n'a que de dormir lorsqu'iniquité supposément apparente de vos troubles fait surface à sa conscience. Laissez la vie des autres en quiétude. Laissez les êtres humains dont vous n'êtes manifestement pas partie prenante faire en paix le travail que vous quémander comme une quêteuse des égouts. Gueuse sotte se gargarisant du malheur merdique dans lequel vous vous vautrez depuis le moment le plus pathétique que la Terre ait porté : votre naissance. Ligaturez vos trompes de Fallope, nous vous en prions les os des mains joints. Belzébuth lui-même chante à Jésus pour qu'Il vous convainque de ne mettre aucune descendance sur Terre. L'enfer vomit votre existence et Dieu ne sait que faire devant l'aberration de votre vie. Sachez guérir les plaies que vous pourlécher de votre salive geignarde ou peut-être mourrez-vous au bout de votre sang que même les vautours laisseront votre charogne non appréciée perdre toute trace d'être!     

jeudi 20 janvier 2011

Ékritür automatisch 21-01-2011

La fondue n'était qu'une grande mascarade



Miaskaratt 2 Cibǿwhr le' pouásswhn

Où en sommes-nous avec la rigidité du papier 纸?Que m'avez-vous transmis en hommage, des plumes en abandon? Sortiez-vous de cette stupeur les mains propres comme des boudins bien gras? Vouliez-vous faire le fête sans repentance jamais? Ou vouliez-vous vous gaver du porridge de mes meurtrissures? Ma peau est maintenant à vif, écorchée d'arrêtes de flétan beurre blanc. Blanc bec plutôt! Soumission devant dollars n'a que de sens dans l'esprit des non-vivants. Que m'avez-vous fait? Suis-je un géant froid, de glace, des pécules et du papier oublié? Menthe fraîche mon cul! Ce ne sont pas là les mots d'une bouche propre. Sale es-tu! Comme le désaveu. Sale comme le porc sucré. Sale comme le liège qui débouche trop de ses infâmes bouteilles à prix d'or. Bourse toi toi-même de démesure! À bout de bras chacun l'un de moral et l'autre monétaire. De quelles lourdeurs avons-nous oublié l'ami? La fondue n'était qu'un subterfuge gras pour éviter la dissolution de cocaïne entre putes.



Non! Sûrement pas j'y serai en fait. Ni même l'écriture implique une décision. Schème vers lequel mon esprit se penchera pour éviter la blessure sera la feinte d'ignorance. L'ignorance... Voilà ce que les semblables dotés d'émotions méritent. Je ne brillerai pas par mon absence, je n'y serai pas parce que mes méninges indiquent autres besognes. Dissolution dans mes habitudes de relaxation, voilà ce que je ferai. Dissolution aux conserves voilà ce que Charlemagne et le Saint-Empire des poudrés n'auront pas grâce à ma feinte. Tais-toi, mon Poisson! Par ton action et tes paroles je crains de ne pouvoir me relever dignement : la raison c'est qu'en toi je pose mon salut et te voir ainsi acquiescer à ces sombres messes pour satisfaire l'entourage qui chancelle d'allégeance me brise en deux. Aucune dichotomie, non aucune moitié-moitié manichéenne, il s'agit plutôt de la mort de mon âme parce que dissociée. Comprends que sous le couvert d'argent à mille piastres se trouve le masque de mon agonie et que seul toi, mon Poisson, semble parvenir à me faire aimer ma visite parmi les Sapiens. Mais qu'est-ce que je peux bien foutre ici avec la rousseur et l'alcool de toute cette vie quand j'ai besoin de stoïcisme, de l'étude et d'entreprendre un pieux rabbinat personnel. Dieu est un blague pour ceux qui aiment la rire, ma judéité ne porte que sur l'abnégation que j'admire, je ferai donc un rabbin athée. Mais avant il faudra dompter le lion ou le tuer pour enfin redevenir un volatil parfum d'hommes.

mercredi 19 janvier 2011

Suzanneries - Part XXI




Messianic Banking 3 : Going down with the Trad'kü



We Got You on Tape -
Suzan's daring telephonic momentum.
A must in Déjà-Radin's sound archives
«Fack là Maman ahl'a appelé au bureau d'Gens Seins Tambour pis j'ai dzi à sa secrétaire : ''Passez-moé donc vot' Trad'kü! Yé où le Trad'kü? Vous yh dirrez de rappeler Suzan de Lachine pis vous yh dirrez qu'yé comme Vincent Lacroix pis Eurl Djaunz pis que tout le monde à Lachine savent que c'est un Trad'kü pis qu'yh doit d'l'arrgent à tout l'monde. Moi, madame, j'veux mon arrgent! Si le Trad'kü me donne pas mon arrgent j'appelle le Journal de Montréal pis j'leur dzi que Gens Seins Tambour yé t'en train de s'orrpartir une bizniss avec mon arrgent qui m'a pas r'mis. C'tsü clair ça, madame?''» relatait Suzan à Piayeluc durant ses heures de travail de jeune banquier coopératif. Le jeune adulte Déjà-Radin effectuait des transactions sur le système bancaire qui modifiait le point de source des cotisations REER de l'ensemble des comptes en fusion de caisse, tout en écoutant sa mère perde haleine en criant sa tranche de folie, voulant transmettre le plus fidèlement possible son discours avec la secrétaire de Gens Seins Tambour. Piayeluc suppliait sa mère d'arrêter de hurler lorsqu'elle racontait son histoire, mais, sans relâche: «Trad'kü, Trad'keuh, Trrrrrrrrrrrrrad'kü» s'époumonait la pauvre Suzan aux portes de la vulgarité téléphonique sur les lignes institutionnelles de Déjà-Radin. Le jeune adulte implora alors sa mère : «Maman! Arrête de sacrer d’même, j't'au travail. Mon gestionnaire peut se mettre à écouter mes appels et retracer mes conversations surtout qu'en plus, ça fait 45 meunutes que j't'écoute!». Alors c'était une Suzan dans toute sa gloire et son défi goguenard qui déclara pour tous les vivants du Mouvement cette phrase bien pesée qui la rendit célèbre : «Ben tsü DZIRRAS.. À ton GESTIONNAHIRE.. Que ta MAHIRE .. Ahl'a prêter d'l'ARRRRRGENT.. À un TRAD'KEUH!!!!!».

Nouveau Riche Style for Ass Hole -
Le Trad'kü's investor profile
while Suzan is cleaning the shit out 
Dans son besoin de tirer sur toutes les cordes en moment de panique, Suzan utilisait TOUS les moyens possibles pour atteindre le Trad'kü. Épiques furent ses tentatives d'attirer l'attention du Trad'kü sur sa misère de femme seule et pauvre. D'abord pourquoi Suzan en était-elle rendue là? Amateurs de trous de culs : nous connaîtrons enfin les ''comment'' des ''pourquoi'' et surtout les ''qui'' dans les mésaventures monétaires de la bonne Suzan. Gens Seins Tambour était en fait le frère de la meilleure amie de Suzan, Joigne Seins Tambour. Il fut également le patron de Suzan durant une courte période alors qu'elle fit un essai en tant qu'agent immobilier. Il est relaté dans ce qui sera connu plus tard dans la mémoire de Faniev et Piayeluc comme le ''Scandale du Trou de cul'' que Suzan avait alors commencé, à cette époque, à amener des milliers de dollars en argent comptant à Gens Seins Tambour [hint : Suzan's then status : poor and hardcore]. Par la suite, changeant de profession, l'homme avait connu une fugace notoriété commerciale avec ses restaurants pour novobourgeois de Ste-Adèle and beyond Laurentides flirtant avec une clientèle chalet-ski-fondue-feu de foyer-raclette. Suzan resta à ce moment dans l'entourage professionnel immédiat de Gens Seins Tambour parce qu'elle faisait «des ménages» dans ses restaurants et à son appartement. La bonne Suzan torchait littéralement son créancier. Suzan la débitrice déjà exploitée en dollars ignorait candidement qu'elle ne reverrait jamais son argent. Le plus pathétique de ce récit saisissant provient du fait que Suzan travaillait de ses maux de dos à nettoyer de grands planchers de restaurants et charrier des vidanges odorantes et organiques de vieux frigidaires pour ajouter des montants à une dette qui ne fut jamais repayée par le Trad'kü. Suzan amena même ses enfants au cœur de ses exploitations personnelles par autrui dans une envie soudaine typiquement suzanesque du ''pourquoi pas?''. C'était ainsi que le jeune Piayeluc et la douce Faniev furent mis à contribution et aidèrent souvent leur mère à faire le grand ménage des restaurants. C'est avec le dos arqué de la soumission et de l'avarie financier et psychologique que Suzan avançait sa main en dessous de la table pour un paiement possiblement sporadique de la part du Trad'kü. L'esclavagiste n'avait pas le choix d'offrir le traitement du compte-goutte cash à notre Suzan, car à court et à moyen terme, il était lié par une poursuite juridique qui menaçait son empire de faux bourgeois. En effet, ses franchisés qui avaient ouvert divers lieux de culte gastronomique de trous de culs braisés le trainèrent en justice pour ses activités calamiteuses et ses multiples fausses promesses en tant que propriétaire fondateur de la chaîne. Au figuré et à peine, les effluves émanant de ce Trad'kü auraient pu faire deviner à n'importe qui l'évidence financière de la situation : on sombrait lentement vers la faillite personnelle. Que nenni devait alors penser notre Suzan qui s'empressa dans un geste inqualifiable par la force des mots de gracieusement offrir plusieurs milliers de dollars CASH à cet homme voguant vers la faillite. Dépassant l'entendement, l'héritage de Matantgabi fut ainsi proposé comme on l'aurait tendu à un passant désirant une petite menthe. 
You've Gotta Give It : It's All you Have -
[Paradox!] -
Despite misery, Suzan's strange eagerness
to give preciousness away

Legal Agreement Dispenser -
Perfect and convenient for dirty litigations - 
Stains of food and Le Trad'kü's signature
Une leçon d’économie ? De responsabilité civile? De droit ? Que fallait-il pour que Suzan eût compris ce qu’impliquait une faillite personnelle ? Peut-être aurait-il fallu que Suzan eût retenu le point principal : déclarant faillite, le failli était libéré de ses engagements avec tous ses créanciers. Il pouvait gentiment repartir à zéro. Ou bien, notre Suzan aurait-elle eu besoin d’une visite chez un notaire ou un avocat pour enregistrer la transaction de prêt ? Non ! La sœur de l’intéressé comme témoin et un bout de «napkinne» pour l’écrire allaient suffire.  En dessous de la table à chaque seconde, c’était probablement ce qui fit en sorte que Suzan ne se sentit jamais visée lorsque la faillite bien sonore du Trad’kü se fit entendre tel un déchirement craquant, parce que le paiement avait été «garantssi» par son amie Joigne Seins Tambour.

jeudi 13 janvier 2011

Suzanneries - Part XX

Messianic Banking 2 : Economics Sweet Fuck All


«Faut qu'tsü r'mett l'arrgent qu't'emprunte dans vie! T'achètes moins d'manger, mais tsü paye tes dettes dans vie» martelait obstinément Suzan a ses enfants. L'élimination des dettes : Valeur cadre suzanesque s'il en était une. Ces obsessions et compulsions avec le remboursement des emprunts avaient façonné la réaction de Suzan face à la dette que certaines personnes avaient envers elle. Un comportement festif et de dépenses le moindrement excessif n'avait aucune logique aux yeux de Suzan lorsqu'il était adopté par un créancier. Suzan se plaignit et critiqua ces endettés toute sa vie durant et de façon ininterrompue à ce sujet, même s'il s'agissait d'une petite dette et, en fait, surtout si...  Cette impression d'abus constant et d'usure monétaire sur sa personne vint modifier à jamais ses relations interpersonnelles et fut la source la plus probante de la profonde et éternelle détresse-frustration suzanesque. «L'arrgent» : Valeur d'or dans la bouche de Suzan ou plié cash entre deux billets de «mini-loto» dans le fond de sa sacoche peuplée de «napkinnes» et de miettes de croutes de cutex.  Comment une mère monoparentale cognant avec les deux poings sur la grande porte de la Pauvreté pouvait-elle entretenir un rôle de débitrice? La réponse est simple, malheureuse et cinglante : par illogisme économique.

The Inflation in Natural Habitat -
Suzan's vision of how money is chewed away
Suzan n'avait certes jamais campé un personnage avare dans un téléroman financier au canal Argent ni n'avait passé à ''J.E.''. L'Economicus, cet être de la science économique jugé rationnel et prenant des décisions censées et opportunistes n'avait aucun écho dans le répertoire suzanesque. Notre bonne Suzan préférait plutôt adopter des choix francs, des choix du cœur et des choix de l'amitié…bref des choix exécrables et allant à l'encontre des valeurs de jouissances matérielles minimales. Loin sent le faux, Suzan était loin d'être une égoïste à l'affut de l'appât du gain en plaçant son argent à la banque, car, soit dit au passage, le taux d'intérêt bancaire des belles années suzanesques frisait le 10 pur-sang. La notion de coût d'opportunité demeurait alors une pure inconnue lorsque les neurones suzanesques furent interrogés sur le sujet par le livresque enfant déjà radin : «Maman? Pourquoi tu l'as pas mis à' banque c't'argent-là? T'aurais eu AU MOINS l'intérêt en attendant». Ce stratagème inscrit dans les premières lignes du Guide de survie au Capitalisme depuis l'époque des Lombards aurait peut-être pu au moins mettre à l'abri de l'inflation la famille d'assistés sociaux la plus singulière de Lachine. L'«inflation» ne parlait certainement pas non plus à Suzan qui pensait probablement qu'il s'agissait d'un gros herbivore des Prairies canadiennes. Notre sombre Suzan se voyait alors rassurée dans ses croyances lorsqu'elle entendait parler à la télévision d' "inflation galopante". Pourtant Suzan ne manquait pas une occasion d'expliquer à ses enfants dans ses "propresmots que la récession des années quatre-vingt-dix frappait tous et chacun durement et que les dispositions du marché de l'emploi l'empêchait de se trouver du travail. La récession devenait alors un tort sur le dos duquel était empilé la presque totalité des malheurs d'une vie d'enfant.
 Banking Basic Instincts -
Lombard Bankers knew how -
Bankrupted Suzan not

Coincé derrière la tête de Faniev et Piayeluc subsistait l’existence de la Providence monétaire, un coussin de dollars sur lequel la maisonnée suzanesque eut pu rebondir : Rappellons-nous : ils priaient en silence la nuit pour que le dieu Économie eusse insufflé à Suzan la sagesse pour que l’héritage de Matantgabi soit à la banque. Salvatrice… confortable… banque. Les enfants qu’étaient Faniev et Piayeluc gardaient en pensée un œil magique sur ce chèque qui brillait comme un bijou dans leur mémoire, car malgré leur capacité distincte d’entendement économique avancé ils ressentaient une curieuse impression : qu’ils ne reverraient jamais plus la couleur de cet argent. L’usurpation totale du montant par une tierce personne était loin du schème de pensées du jeune couple d’enfants, mais l’orchestre aux tambours de la réalité allait jouer sa dure mélopée.  Vibrant et retentissant, en fait, résonnait le cuir tendu des tambours des amis malfrats connus de Suzan. Les oreilles et le cœur de Suzan ne supportèrent pas ce qu’elle allait entendre. L’orchestre de l’impensable fut peut-être un des électrochocs qui achevèrent notre Suzan. Déshéritée en devises canadiennes et en amitié, sa quête de vengeance avait un nouveau nom : Gens Seins Tambour alias «Le Trâd’kü».
Showing us Seins and Tambour -
Gens Seins Tambour's ass hole debut -
Suzan's insanity sticks to the beat
 

vendredi 7 janvier 2011

Poèmes aviaires - Linotte Fuyante

La Fuite Rue Parthenais
Créole des oiseaux avec traduction française



Kioù Bijwàt aillèh d'yaìl 2 poúlwh
A l'yeùr sont állwh tièdessejeúbrwh

Twh Bièl Lénòtt ofrìr bwh kiàdwh
Jiàmais plü 2 Bìjwàt boteh douázwh

Le coup des bijoux aillés d'ailles de poulet
À l'heure du petit déjeuner s'en sont allés
Toi, belle linotte s'est vue offrir un beau cadeau
Elle ne verra jamais plus de bijoux et de beauté d'oiseau
 
Nwhh! plörrwh liàrm Ménwh-Pétwh
Siortswh 2 kiàj douázwh l'envólwh
Preciöz Bijòtt o pliùmaj pièrdzwh
Oh Twh nwh crrwh pá 'Nwh Bìjwh'

Non (offusqué)! Pleura Minou-Pitou en larme
Une envolée d'oiseaux est sortie de la cage
Précieuse Linotte-Bijou au plumage perdu
Ô toi, qui ne crie pas ''Non Bijou''

Miàlatt chiànta Lìyìnotteh Piártönwhh
Striátajöm pitrrörrwh kour elouágnwh
Stratájǿm sükhrrörrwh 2 Ménwh-Pétwh
Diéssídeh Zouázwh verr kiàj retoúrnwh

Malade, la grande linotte de Parthenais chante (ton religieux)
Stratagèmes de mauvaise intention, de pitreries, elle court en s'éloignant
Stratagèmes de bonne intention, de sucreries fait, lui, Minou-Pitou
Décidant que les oiseaux retourneront vers la cage

Modzitt Cìyìyì 2 liprött fúmwh Cíbǿwhr
Piàtsch  sür  Lìyìnotteh ke 2 nwhh!
Piàtsch 2 Daīnyál dzitel ''laoúsh Mwh!''
Cíbǿwhr dzitil ''Toùsh mwh pwhw!''

Maudite est la cigarette que fume la prêtresse linotte Simon
Une patch est refusée par la grande linotte (elle est offusquée)
Une patch donnée par Daniel, elle répond toujours : ''Lâche-moi!''
Simon répond : ''Ne me touche pas!''(il sort la langue passée sur ses lèvres en fin de phrase)

Pour Daīnyál 2 Cíböwhr Lìyámǿwhr
Yèkrazà Cìyìyì chiàntant amoúrrwh
2 Pièsch le gou deh ptsì bízwh 2 Twh
Sàvoúrrwh Ménwh-Pétwh, Pá l'drrwh!

À cause de l'amour entre Daniel et Simon
Il écrasa la cigarette en chantant, amoureux
Tes petits bisous ont maintenant un goût de pêche
Mais de les savourer Minou-Pitou n'a pas le droit