jeudi 20 janvier 2011

Ékritür automatisch 21-01-2011

La fondue n'était qu'une grande mascarade



Miaskaratt 2 Cibǿwhr le' pouásswhn

Où en sommes-nous avec la rigidité du papier 纸?Que m'avez-vous transmis en hommage, des plumes en abandon? Sortiez-vous de cette stupeur les mains propres comme des boudins bien gras? Vouliez-vous faire le fête sans repentance jamais? Ou vouliez-vous vous gaver du porridge de mes meurtrissures? Ma peau est maintenant à vif, écorchée d'arrêtes de flétan beurre blanc. Blanc bec plutôt! Soumission devant dollars n'a que de sens dans l'esprit des non-vivants. Que m'avez-vous fait? Suis-je un géant froid, de glace, des pécules et du papier oublié? Menthe fraîche mon cul! Ce ne sont pas là les mots d'une bouche propre. Sale es-tu! Comme le désaveu. Sale comme le porc sucré. Sale comme le liège qui débouche trop de ses infâmes bouteilles à prix d'or. Bourse toi toi-même de démesure! À bout de bras chacun l'un de moral et l'autre monétaire. De quelles lourdeurs avons-nous oublié l'ami? La fondue n'était qu'un subterfuge gras pour éviter la dissolution de cocaïne entre putes.



Non! Sûrement pas j'y serai en fait. Ni même l'écriture implique une décision. Schème vers lequel mon esprit se penchera pour éviter la blessure sera la feinte d'ignorance. L'ignorance... Voilà ce que les semblables dotés d'émotions méritent. Je ne brillerai pas par mon absence, je n'y serai pas parce que mes méninges indiquent autres besognes. Dissolution dans mes habitudes de relaxation, voilà ce que je ferai. Dissolution aux conserves voilà ce que Charlemagne et le Saint-Empire des poudrés n'auront pas grâce à ma feinte. Tais-toi, mon Poisson! Par ton action et tes paroles je crains de ne pouvoir me relever dignement : la raison c'est qu'en toi je pose mon salut et te voir ainsi acquiescer à ces sombres messes pour satisfaire l'entourage qui chancelle d'allégeance me brise en deux. Aucune dichotomie, non aucune moitié-moitié manichéenne, il s'agit plutôt de la mort de mon âme parce que dissociée. Comprends que sous le couvert d'argent à mille piastres se trouve le masque de mon agonie et que seul toi, mon Poisson, semble parvenir à me faire aimer ma visite parmi les Sapiens. Mais qu'est-ce que je peux bien foutre ici avec la rousseur et l'alcool de toute cette vie quand j'ai besoin de stoïcisme, de l'étude et d'entreprendre un pieux rabbinat personnel. Dieu est un blague pour ceux qui aiment la rire, ma judéité ne porte que sur l'abnégation que j'admire, je ferai donc un rabbin athée. Mais avant il faudra dompter le lion ou le tuer pour enfin redevenir un volatil parfum d'hommes.

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