Truie Bancaire : le Bris
Est-ce que l'éclat des bijoux qui scintillent en tintements visuels? Ou sont-ce plutôt les notes du diktat de ma vie jouées à même le glockenspiel esclavagiste. Ô plaintive femme de maison des bas étages sociétaires. Voulez-vous en toutes choses le retrait de tous pietres avoirs de sombre idiote pour n'offrir à votre maisonnée que chiens de faïence! Pourquoi le dur labeur du passé accumulé pour vieillesse puante doit-il prendre le chemin du paiement caprices. Idiotie de votre région pauvre d'esprit! Criez, glauque folle! Gérez votre succession à coup de ventilateur dans vos émeraudes billets. Votre cortex pense supposer un semblant de connaissance, mais vous êtes la seule à revendiquer vos conneries. La gérance n'a vent de votre déséquilibre, seule, vous croupirez dans le welfare d'Augias. Mais d'où sortez-vous avec vos assurances? D'où la politesse doit elle sortir chez vous? Certainement pas de votre cavité buccale ou autre de vos sphincters de piété commerçante. Non madame vous ne serez pas servie avec ce ton de gémissement monétaire. Une déesse des transactions n'a que de dormir lorsqu'iniquité supposément apparente de vos troubles fait surface à sa conscience. Laissez la vie des autres en quiétude. Laissez les êtres humains dont vous n'êtes manifestement pas partie prenante faire en paix le travail que vous quémander comme une quêteuse des égouts. Gueuse sotte se gargarisant du malheur merdique dans lequel vous vous vautrez depuis le moment le plus pathétique que la Terre ait porté : votre naissance. Ligaturez vos trompes de Fallope, nous vous en prions les os des mains joints. Belzébuth lui-même chante à Jésus pour qu'Il vous convainque de ne mettre aucune descendance sur Terre. L'enfer vomit votre existence et Dieu ne sait que faire devant l'aberration de votre vie. Sachez guérir les plaies que vous pourlécher de votre salive geignarde ou peut-être mourrez-vous au bout de votre sang que même les vautours laisseront votre charogne non appréciée perdre toute trace d'être!
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