Fag Hag by Motherhood 6 – She Gives the Speech
A Gift for Life - Suzan's eagerness to defend child, infant Piayeluc - Piayeluc, already prone to flash crotch |
«VOUS ALLEZ M’ARRÊTER ÇA TSÜ SUITT’! J’comprends pas comment vous pouvez en arriver à traiter un autre être humain comme çâ! Où c’est que vous avez la tête, les jeunes!? Va falloir que toi, pis toi, pis toi, pis toi aussi, pis vous toutt’, vous apprenez à respecter la différence! Si mon fils, c’te p’tsi gars-là, yé comme ça, c’est pas d’sa faute. Voyons!! C’est pas la première fois que vous voyez çâ dans vie, des homosexuels, y’en a dans toutes les familles. Si vous êtes pas capabb’ de comprendre çâ, j’vous garantis que vous allez me voir r’tontir icitte dans l’autobus encore v’nir vous l’orrdire.» déclara une Suzan de grands discours aux étudiants du Collegio San-Luìs assis dans l’autobus stationné devant l’école secondaire que le jeune Piayeluc fréquentait alors qu'il était un adolescent sectaire du 3e genre (secondaire 3). Une scène parapsychologique dans laquelle des étudiants de 4e et 5e secondaire voyait une mère de six pieds et six pouces de volume de cheveux flottant d’une colère noble et résolue venir les admonester au fond de leur autobus du retour à la maison. Pas d’issue!
Boom Box for A Speech - Suzan's then inspirational after-school meeting with the teens - A private teaching of savoir-vivre |
Mais comment la bonne Suzan en
était-elle venue à professer morale d’Humanité dans le motorisé de l’idiolescence? Suzan, comparable à une
bombe, devait, à l’instar de son objet d’analogie précédent, être amorcée. Ce
jour-là, Suzan attendait dans sa voiture en retrait à côté de la cour d’école
et vit son fils sortir et se diriger vers l’autobus. Suzan devait alors se
faire voir par Piayeluc pour ne pas qu’il s’engageât dans l’autobus et ne
partît vers le Queendom of Lachine à bord. Une demi minute plus tard, Piayeluc
alla rejoindre sa célèbre mère dans son char
parké.
Suzan
@ Piayeluc High-school homo-sweetheart : «J’t’ai vü rentrer dans l’autobus,
j’m’en allais t’chercher, comment tsü savais que j’étais ici à t’attendre?
Piayeluc
high school homo-sweetheart sans gaité de cœur @
Suzan : Ben, ils m’ont dzi ‘’le FIF, ta mère est là, va-t-en le
FIF ta mère est venue te chercher’’.
Suzan calmement @ Piayeluc h[e]-sh[e]-s : Bouge pas, reste ici, j’orrviens.».
Mother of Us All - Suzan, shamelessly and gently schooling thug kids of others |
Sorority Love - Faniev wants to kiss [wreck yo' face] |
Il n’y avait, en fait, jamais eu
plus grande fierté pour Suzan que de savoir ses enfants à la vue et au su de
tous comme étant des jeunes être courtois et déférents. Que même plongée dans
l’odeur de cuisson du bœuf haché de la pauvreté lachinoise, sa famille
monoparentale dont elle était l’unique suzeraine en effort se détachait de la
masse des édentés et des vulgaires en langage. Ne restait maintenant que la
tristesse auxiliaire du rejet de son fils par ses pairs. Rejet qui pouvait
demeurer digeste lorsqu’étant occasionné sans abus sur la personne du jeune
Piayeluc, car, souvenons-nous qu’une Suzan n’aurait jamais supporté que l’on
transfère son chagrin de vie à son fils. En discussions nocturnes avec comme point focal probable du
visage de Suzan, le petit cercle incandescent de sa cigarette allumée dans l’obscurité :
«J’suis née comme une nonoune, j’ai jamais joué à nonoune moé dans’ vie, j’suis
née de mahime! Nonoune dans’ vie parce que j’ai laissé les autres me manger la
laine sü’l’dos pis profiter du fait que j’étais bonne pis NA-Ï-VE! J’ai pu d’arrgent,
j’ai toute perdzü din’ mains d’un profiteur comme ton pahire! Mais j’vais
t’oldire, Piayeluc, c’est fini le picnic! Y’a pu personne qui va v’nir rire de
moé, pis y’a pu personne qui va v’nir rire de toé, c’t’u claire ça, Piayeluc?
Si tu joues à’ momoune pis que tu te défends pas contre ceux qui abusent de toé
tu vas voir ortontsir ta mahire parce que je resterais pas ‘à maison à r’garder
mon fils en baver dans’ vie pis à manger la marde des autres!»
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